Dans un échange épistolaire, Victor Simon raconte à un ami de Paris comment la Toile Bleue aurait pu changer le cours de sa vie...
« Si [une grande toile] était vendue utilement elle serait remplacée par une autre certes plus belle, c'est ma conviction, c'est peut-être aussi la seule méthode qui me permettra de continuer à peindre. Mes idées sont confuses à ce sujet, il y a la nécessité qui se heurte à l'idéal: il y a dix ans à Casa, j'ai refusé de vendre la toile bleue de 10m² à un Américain qui m'offrait plus de un million; à cette époque, j'avais un emploi qui me permettait de vivre. Aujourd'hui, je ne sais pas ce que je ferais. »